Sensibiliser sur la préservation de l’intimité face à internet: Les journalistes membres de FIJEEF s’organisent aux côtés de l’artiste AAMRON pour promouvoir les bonnes mœurs

 Sensibiliser sur la préservation de l’intimité face à internet: Les journalistes membres de FIJEEF s’organisent aux côtés de l’artiste AAMRON pour promouvoir les bonnes mœurs

L’Oeil d’Afrique, le 27 Mars 2023
+228 90214293/92178279

Entrainés dans la vague des buzz, certains internautes s’exposent sur internet, parfois ignorants des impacts ; avec son lot d’effets boomerang. Par un biais, les conséquences que les laisser-allers provoqués ne se limitent plus dans le contexte du secret de la vie privée, surtout avec les algorithmes de l’intelligence artificielle. De façon innocente ou naïve, une photo divulguée, un selfie de vie intime, peut se retrouver propagé sur la place publique : acte qu’une fois consommé ne peut plus être interrompu ou contrôlé, et de manière irréversible, cause dommage certain à celui concerné. Acte qui appelle à l’introspection, du fait du constat d’une soutenabilité improbable de ce que représente l’Homme face à la machine, surtout par ce contexte de pénétration de la connexion internet en Afrique qui prend une croissance exponentielle, avec des dérivées parfois au-delà des limites du repère que ces utilisateurs se fixent.

Les voix s’élèvent afin de prévenir, mieux éradiquer ce fléau qui n’épargne personne en rappelant les règles fixées. Ainsi, il est courant qu’aux comportements obscènes, cet outil et les effets observés ça et là, renvoient une approche méthodique dans le rapport de l’Homme avec la machine. Rappelons que pour d’autres, c’est de façon accidentelle que dans les échanges de correspondance, leurs images se sont étalées sur la place publique. Un fait qui n’épargne personne, un fait récurrent surtout fréquent chez les jeunes de la dernière génération, des jeunes dont la promiscuité à internet est quasi-permanent et échappe au contrôle parental, avec des pratiques déviantes qui se soldent par des traumatismes, voire de suicides, parlant des jeunes dont les images tombent dans des mauvaises mains qui s’en servent pour de chantages, actes souvent pratiqués par les cyber-escrocs.
Des formes de perversion de l’outil internet qui, bien que réprimées, continuent à persister dans les habitudes, une sorte de tendance que déplore l’artiste AAMRON. Un aspect qu’a partagé l’artiste avec les journalistes membres de FIJEEF ; lors de la rencontre des professionnels des médias avec l’artiste et son producteur Madame KOLANI.
L’artiste, face à ce constat, décide pour y remédier, de poser une action collégiale et en série, une action entre artistes et médias afin de porter le message de sensibilisation sur la protection des données personnelles, étant attendu que les engagements à la responsabilité sociale des deux corps de métiers convergent.

Cette démarche qui entre dans la droite ligne des politiques stratégiques de l’Organisation des Nations-Unies, prise en compte par les Etats d’Afrique dont le Togo, a été l’objet de la rencontre ce 25 mars 2023 à Kégué, quartier de la résidence Nirvana, dans l’enceinte de la Maison des Arts et Médias, rencontre d’échange entre l’artiste AAMRON et les Hommes de medias, une séance qui marque le début de la sensibilisation contre ce fléau rattaché à la dépravation des mœurs. Ainsi, les médias et les artistes entendent jouer un rôle pour faire en sorte qu’un code de bonnes attitudes vestimentaires soit adoptée et reflète véritablement l’identité de l’africain, en guise les choix de musique à promouvoir soient respectés.

En effet, les journalistes n’ont pas manqué de souligner que la dépravation de mœurs, à ce jour, fait le fonds de commerce des artistes qui épiloguent des chansons de contenus indécents à souiller l’intégrité psychologique des mineurs ; un état de fait que l’artiste Aamron déplore en promettant contribuer à son éradication, de sorte que l’exemple vienne des artistes.

De même que les journalistes, prenant la mesure de la situation et face à leurs responsabilités entendent accorder plus d’heures de diffusion aux chansons véhiculant d’information jugée sérieuse et surtout éducative. Un angle de vue auquel aspirent désormais les journalistes aux côtés de l’artiste AAMRON.


Quant à la responsable de production de la maison ROYAL GENERATION EVENT, Madame Kolani qui a effectué le déplacement sur Lomé expressément de l’Occident, il s’agit d’apporter son accord à l’orientation actuelle de cette grande entreprise de production africaine basée au Togo, une vision partagée avec les médias togolais.


Mue par le souci d’atteindre impérativement cet objectif que défend FIJEEF à travers sa mission rattachée à l’Objectif de Développement Durable, volet 4.
Les parties prenantes à la rencontre de Lomé sur la protection des données à caractère personnel marque l’attachement de institution de la République Togolaise à la protection de l’enfance, une attitude d’Aîné à l’égard des jeunes filles africaines à la respectabilité de son identité dans un contexte mondial emprunt à des mutations sociologiques liées parfois à une crise dans le choix de modes de vie. En ce sens, Madame Kolani, par la voix de la Royale Génération Event se fait intermédiaire de cette vision que porte ensemble les médias. Elles auront donné une touche particulière à la perception que doivent refléter dans les prochains jours, les œuvres artistiques que proposeront les artistes Africains sur le marché culturel mondial…

Par la seule volonté de capitaliser le meilleur moyen sur une utilisation rationnelle de la technologie de la communication pour l’éradication des vulnérabilités dans la gente féminine, des gestes pour lesquels les médias francophones et l’artiste d’origine togolaise Amon Ra sensibilisent à plus de responsabilités.
Un concours de meilleur “SHORT VIDEO” sur la thématique et également des tournées dans les écoles, à cet effet, sont prévus

Tolissa Jude Simone

L'OEIL D'AFRIQUE

Articles Connexes

Laisser un commentaire